Informations géographie saint-martin ? Aux AntillesVous êtes ici : Antilles> Saint Martin> Découverte : Géographie Découverte de Saint Martin : GéographieGéographieLes Antilles constituent un archipel qui égrène ses îles, tel un chapelet, grandes au nord, petites au sud, en face de l’Amérique centrale. Elles sont baignées par l’océan Atlantique à l’est et par la mer des Caraïbes à l’ouest. 7 260 km séparent les Antilles de Paris (8 heures d’avion de Paris). En revanche, elles sont très proches de l’Amérique du Nord, de l’Amérique centrale (Mexique), de l’Amérique du Sud (Venezuela). Quant à Saint-Martin, elle est idéalement située au milieu de l'arc en question (au nord des Petites Antilles). De petite taille, elle fait 15 km de long sur 13 km de large. De nature à la fois volcanique (montagneuse) et calcaire, elle est composée de deux parties distinctes : les Terres Basses et la Grande Terre, rattachées par deux cordons littoraux étroits qui renferment l'étang salé de Simpson Bay, plus connue sous le nom de « lagon ». Son point culminant est le Pic Paradis (424 m). La côte est une succession de plages, de lagunes littorales, de zones rocheuses et de mangroves. Inhabitées, les îlots de Tintamarre et de Pinel se trouvent à l’est. L’intérieur est vallonné, avec en partie des secteurs plats. FloreUn fort développement de constructions immobilières oblige Saint-Martin à protéger son magnifique environnement. L’équilibre de la flore et de la faune est sans cesse menacé par les activités de l’homme, le tourisme croissant et des conditions naturelles très délicates. Saint-Martin est une île sèche et, comme dans toutes les îles peu arrosées, les cactées sont très présentes dans le paysage végétal, notamment dans les zones arides et venteuses, pentes de mornes ou falaises exposées à un soleil intense.
Arbres remarquablesLe cocotier. De la famille des palmiers, cet arbre originaire, pense-t-on, du Sud-Est asiatique se retrouve dans tous les paradis exotiques (la plante cultivée la plus répandue dans le monde !). Sa noix fut sans doute transportée par des courants marins pour atteindre les rivages tropicaux. C’est un arbre à multiple usage, toutes ses parties peuvent être utilisées par l’homme, comme la noix de coco qui donne une substance blanche et solide appelée coprah, dont on extrait l’acide palmique qui entre dans la composition de nombreux cosmétiques et médicaments. Le flamboyant. Autrefois nommé poincinia (qui provient de M. de Poincil, gouverneur des Antilles au XVIIème siècle), cet arbre familier des paysages du Madagascar, arriva aux Antilles avec les colons, comme beaucoup d’autres espèces. Sa luxuriante floraison rougeoyante le fait rayonner durant plusieurs mois (de mai à septembre), avant que ses fleurs ne laissent place à des gousses pouvant atteindre 60 centimètres. Le mancenillier. Cet arbre de la famille des euphorbiacées produit un suc vénéneux qui peut provoquer de graves brûlures. Autour des plages, il a été systématiquement arraché, mais il en reste en divers endroits des îles. La plupart ont été marqué d’un signe rouge ou sont annoncés par un petit écriteau. On peut le reconnaître à ses petites feuilles rondes dont la nervure centrale est jaune. Sachez que le tronc et les feuilles peuvent également causer des ennuis ; n’y touchez donc pas. Ne commettez pas non plus l’erreur de vous y abriter durant les ondées, car l’eau de pluie entraîne avec elle le suc vénéneux qui pourrait vous brûler. Il est également dangereux de manger le fruit de cet arbre, la mancenille. Si vous subissez une brûlure ou pire si vous mangez son fruit, consultez un médecin. Le long des plages, vous trouverez des amandiers , des raisiniers, des quenetiers , alors que près des rochers vous verrez des pieds de ricin (ses graines vénéneuses donnent une huile médicinale).
FauneLa plupart des espèces présentes au début de la colonisation ont disparu des îles, comme le lamentin (phoque d’eau douce), l’agouti (petit rongeur) ou le trigonocéphale (serpent, il en reste en Martinique et en Guadeloupe). Seuls les oiseaux (colibris, merles et autres oiseaux-mouches) pourront être fixés sur vos pellicules et finiront les miettes de votre petit déjeuner. Beaucoup l’ignore mais l’île possède une petite richesse ornithologique. Il existe, en effet, environ une cinquantaine d’espèces d’oiseau, certains étant sédentaires d’autres migrateurs. Leur présence et leur régularité sont fortement compromises d’une part par les aléas de la nature (les cyclones), l’homme (tourisme, démographie), d’autre part. Citons les plus connus comme la frégate, les sucriers, les aigrettes, le pélican, la mouette, les crabiers, les merles. Si vous souhaitez les rencontrer, il vous faudra faire preuve de calme et de patiente. On les retrouve surtout près des bords d’étang, dans la mangrove et dans les forêts. Le grillon et le cabrit bois (genre de grande sauterelle) ne vous apparaîtront qu’en rêve, mais vous imposent tous les soirs un concert de musique populaire animale, qui réunit aussi le coassement des grenouilles. Les colibris posés sur l’hibiscus cohabitent avec les papillons aux coloris variés qui ornent les fleurs en proposant des alternatives bariolées. Vous rencontrerez facilement des anolis (lézards) et des crabes sur les plages. Terminons avec les plus connus mais pas forcément les plus sollicités : les moustiques et les ravets ou blattes américaines (cafard).
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